jeudi 23 mai 2013

L'Education musicale


Her fantasy  

Simple hearts have no story
And writing can’t save me
So I let myself escape from me
And turn into crazy

My thoughts will be always running free
And you can’t take it from me
As a poet on earth, exiled away
Nothing’s gonna take my soul away

Took the train in vain
With his lies and Champaign
Because needed someone to shut up my brain
And kiss me under the pouring rain

Now that nothing’s left
Your compel, a never ending debt
Have killed your joy
Like a defect toy

We will be always playing
As a paw of entraining
The show is over
And we can only remember 



mardi 14 mai 2013

Musique et journalisme : à quand la communication de crise ?






« L’entreprise musicale ne connait pas de crise. Chaque nuit, la machine tourne faisant du débit émotionnel sa principale marchandise et de la synergie des mots et du son, sa marque déposée »Quand on est journaliste et quand on carbure à la musique, ce n’est pas très évident. Dans un monde laminé et terrassé par les souffrances et l’injustice sociale, il semblerait que pour le dénoncer, l’expression journalistique et musicale sont les meilleures voies pour toute sorte de revendication.


Souvent, le réalisme de la profession doublée de l’extravagance musicale produisent de nouvelles réflexions et expériences hors du commun. Dans d’autres circonstances critiques, la machine productive déraille et le bon sens part en grève. Cette faillite des facultés intellectuelles mène tout droit à ce que j’appellerai de faute de convention sémiotique au « Trouble de la personnalité musicale ». Une autre pathologie de la personnalité qui se classe par son caractère dualiste et ambivalent à coté des troubles de la personnalité ordinaire. Au-delà d’un certain héritage musical, le journaliste se perd dans la logique de précipitation et de concurrence car inscrit dans un système de journalisme de marché.


Un journaliste productif comme il se doit, doit faire l’impasse sur son inconscient individuel au profit de l’inconscient social. Cette prise de conscience, est une mesure quelque peu austère qu’il capitalise à bien mais au fait de la réalité sociale. Vous me direz bien que vers les 80’s, la musique faisait partie de la stratégie régulatrice du monde. Déjà pendant l’air Woodstock, la musique, avec ses sons percutants et ses paroles déstabilisantes a fait ouvrir les yeux de plus d’un. Les journalistes à cette époque se sont laissés charmés par toute sorte d’opiacé musical et la musique coulait dans leur sang comme coule les paroles de sagesses de leur bouche. Dans le fil du travail à la chaîne de la standardisation morale des sociétés : On enchaînait les chansons comme on enchaîne les idées d’écriture revendicatrice.

Les Résultats du bilan de l’activité journalistique actuelle ne sont ni rentables ni morales. On doit agir au plus vite afin de composer un référentielle à valeur à bon usage du journaliste. C’est la condition ultime pour la réussite de la communication de crise.