Crois moi mera, it’s absolace fractals…
Fractal chromatique |
Absolace est un groupe de la
nouvelle génération du rock progressif. Un produit du XXIème siècle tout droit venu de Dubaï : des émiraties
en bonne et du fort. Chroma Mera est une chanson de leur second opus du nom de
Fractals. Elle raconte l’histoire d’une vérité qui s’ajoute à notre océan de
connaissance.
La chanson débute avec une révélation qui semble toute fois
logique dans sa structure mais pas dans son contenu « I give in to the
absurd, and forfeit all I’ve learned. Back to simpler ways, cause I’m not here to stay». Car en effet, on ne pas
tirer une philosophie de vie d’après une seule expérience aussi mauvaise
soit telle. Mais le ton qui serre et le
registre qui se complique après nous faits
sentir que cette absurdité est intelligible en fait de compte.
C’est parce ce qu’« Un jour
seulement, le “ pourquoi ” s'élève et tout commence dans cette lassitude
teintée d'étonnement. » comme le disait
Albert Camus dans Le Mythe de Sisyphe qu’il y’a des faits qu’on ne peut
pas affronter même en ayant pris conscience des interprétations. Pour ainsi
dire, le retour à au raisonnement par l’absurde est le seul moyen pour
affronter la vie. Tel un combat, à
travers cette chanson Nadim, notre
héro absurde brosse le portrait de cette
vérité chromatique.
La prise de conscience du caractère absurde de la vie devant de loin suscité un rejet dédaigneux du monde ne peut que conduire à l'action et à la révolte. Le héro a du affronter des obstacles à l’instar de Mera, la femme d’Aquaman qu’on a condamnée à l’exclusion dans la sphère terrienne. Leur destin croisé est porteur de similitudes et de convergences dans la mesure où les deux antihéros ont croisé et ont senti les mêmes illusions de la vie.
A la fin de la chanson, on peut entendre
clairement la superposition de leurs combats mutuels. Avec un ton qui monte et
une agressivité musicale qui est à son paroxysme, cette dualité enfonce les tensions et
l’engouffrent dans cet océan de mémoires et de vérités chromatique. C'est ainsi que le « paroliste » a choisi de clôturer cette partition épique limite mystique.